Black (Fridays) shouldn't be pitiful

Est-ce que le "Black Friday" menera-t-il à une largeur de vues en général? 

Des convictions sont liés à des manières de voir ou de faire les achâts comme à des manières de gagner et d'épargner, à des buts dans la vie ou à la façon de s'organiser avec son argent. On peut s'imaginer après une expéricence un peu honteuse ce jour-ci dans les magasins où on doit accepter des cadeaux de prix - ne pas parce qu'on n'aime pas acheter moins cher mais à cause du rabais trop élevé qui donnent les magasins qui devraient attirer par leur qualité - que les consommateurs commencent à faire des cadeaux à leurs collègues et amis: Si on reçoit si beaucoup on aimerait donner quelque chose. Ce qu'on peut observer est le contraire: Les prix seront baissés partout pour attirer plus de consommateurs et pour les attirer partout et toujours, pendant que les propriétaires des magasins savent qu'ils ne peuvent pas continuer sans une certaine marge qui ne feront peut-être pas entrer tous pendant ces jours de remise (voir aussi http://www.telebasel.ch, "Nicht alle freut der Black Friday", 23/11/2018). Des larges groupes comme propriétaires pourraient s'investir dans les marchés de finance pour recompenser, et si on le fait comme l'institut américain privé, Blackrock, qui possède des petits pourcentages chez beaucoup d'entreprises, on pourra contrôler le marché par des connaissances internes si on reste client en même temps (voir aussi http://www.diepresse.com, "Warum Blackrock fast alles gehört", 23/11/2018). 

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