On fait ce qu'on peut (Abducet praedam, qui occurit prior)

Encore une fois: Les bourses en berne. On lit dans les médias que la guerre en Ukraine soit la raison, mais peut-être faut-il aussi ajouter à une crise déjà éxistante comme cette guerre la possibilité des crises contrevenantes. Les spéculateurs vont certainement encaisser (parce que depuis longtemps on observe une certaine périodité des crises cumulées), soit-il ne que pour sécuriser le propre futur jusqu'à la prochaine. Chez des autres le résultat sera un cauchemar soudain, on peut donc attendre une faillite d'une entreprise globale et occidentale ou au moins des informations compromettantes. Ceux qui perdent de l'argent, même s'il est beaucoup, comme Mark Zuckerberg (Facebook) ou Elon Musk (Tesla) se sauvent par ces pertes, en sachant que l'index montrera de nouveau vers le haut, mais en sachant aussi qu'il ne sera peut-être plus possible de reprendre le niveau sans un éffort au dessus du connu, si on aura le courage de le dire. Quelle relation a-t-on, si on en a, entre ces pertes et les caisses des spéculateurs remplies? 

Il faut analiser très précisement ce qui se passe même dans des pays qui ne font pas partie du premier monde (qui semble être devenu une place pour des attaques régulières des marchés des finances, des attaques qui peuvent affaiblir le système en long terme). On fermera, par exemple, un journal libre, francophone et leader du marché dans la capitale d'Algérie, à Alger: "La liberté". Qu'est-ce qui viendra après? Le terrain ne sera certainement pas vide.