Des œillères dans la crise corona

Les citoyens en Europe sont occupés: On a beaucoup à faire pour connaître toujours les nouvelles règles et mesures concernant le virus corona (il faut les suivre parce qu'autrement on ne pourra pas avoir certains droits), et certainement il y a ceux qui veulent enfin reprendre leur vie, et, vaccinés, envisager des vacances d'été à l'étranger. Mais qu'est-ce qui se passera s'il commencent à comprendre les choses d'une façon qu'ils étaient arnaqués des médecins, de l'état, parce des nouvelles mutations graves du virus peuvent nier tout éffet du vaccin? Une situation qui ne se produit normalement pas. On tourne en rond comme citoyens, on est obligé de s'occuper de soi-mème. On s'est certainement préparé à un tel scénario dans les rangs, car il serait plus que embarrassant de profiter des plus faibles dans la société.

Et bientôt on aura probablement un problème en plus pour les caisses des états: la faillite plus que probable de l'état du Liban. Consultant les dettes publiques intérieures c'est le Japon, une nation développée, qui se trouve dans le premier rang avec 238,7 % du PIB en 2018 (selon OCDE) ou 236,5 (selon FMI), publié dans Capital ("Das sind die Länder mit der höchsten Schuldenquote weltweit", www.capital.de, 2020/7/12). Au Liban on est arrivé à une dette publique intérieure de 171 % du PIB (en 2019), selon les analyes de CEIC (Census and Economic Information Center) basé à Londres, ce qui veut dire que le pourcentage ne fait pas tout le problème. Mais les scénarios des difficultés au Liban sur le niveau de l'état comme dans le quotidien sont arrivés à un niveau sérieux, si on croit la presse qui s'occupe du sujet. Être obligé de s'occuper toujours des règles contre le virus corona en Europe peut rendre aussi un peu ignorant en ce qui concerne les questions plus grandes.

Update: 2021/06/24